Sécurité des objets connectés : comment les entreprises peuvent (vraiment) éviter le pire

Pour sécuriser les objets connectés en entreprise, il faut les cartographier, segmenter le réseau, maintenir les firmwares à jour et sensibiliser les équipes. Sans stratégie globale, ils deviennent des portes ouvertes aux cyberattaques. (Croyez-moi, ça va plus vite qu’on ne pense.)
Un bureau équipé d’objets connectés protégés par une cybersécurité avancée
Sécurité des objets connectés : comment les entreprises peuvent (vraiment) éviter le pire

Assistants vocaux dans les bureaux, badgeuses connectées à la porte d’entrée, capteurs dans l’entrepôt ou caméras IP dans l’open-space… Les objets connectés ont discrètement envahi le quotidien des entreprises. S’ils promettent gain de temps, automatisation et data en temps réel, ils deviennent aussi – et trop souvent – des points d’entrée négligés pour les cyberattaques.

En avril 2025, les chiffres sont formels : les failles de sécurité liées à l’IoT (Internet des objets) explosent, avec des conséquences parfois désastreuses pour les structures mal préparées. Or, contrairement aux idées reçues, il ne suffit pas d’un bon antivirus ou d’un mot de passe compliqué pour s’en prémunir…

Alors comment faire face, quand les menaces évoluent plus vite que les firmwares ? Dans cet article, on passe au crible les risques réels, les erreurs les plus fréquentes, mais surtout les solutions concrètes pour sécuriser vos équipements connectés. Que vous soyez une PME, une collectivité ou une grande entreprise, il est temps de reprendre le contrôle.

A lire aussi : Trackr.fr Tech : la plateforme française dédiée aux objets connectés et au gaming

Objectif : comprendre les enjeux de sécurité liés aux objets connectés, repérer les pièges et bâtir une stratégie pérenne, technique et humaine.

Objets connectés : petite révolution, gros risques

Une définition business de l’IoT en 2025

On parle beaucoup de l’IoT (Internet of Things), mais concrètement, que désigne-t-on par “objet connecté” en entreprise ? Il s’agit de tout dispositif physique capable de collecter ou de transmettre des données via un réseau. Cela va bien au-delà des montres ou enceintes connectées. Dans les structures professionnelles, l’IoT prend des formes bien plus diverses (et souvent insoupçonnées).

En 2025, le parc mondial d’objets connectés a franchi la barre des 30 milliards d’unités. Et les entreprises en sont les grandes utilisatrices, qu’il s’agisse :

  • de capteurs environnementaux dans une chaîne logistique (température, humidité, vibration),
  • de caméras de surveillance IP connectées au cloud,
  • de contrôleurs d’accès intelligents (badgeuses, serrures connectées),
  • d’imprimantes réseau, bornes Wi-Fi ou téléphones VoIP,
  • ou encore de balises Bluetooth en magasin pour traquer les parcours clients.

Autrement dit : dès qu’un appareil dialogue avec un autre sans votre intervention, il y a fort à parier qu’il s’agit d’un objet connecté. Et c’est là que les choses se compliquent…

Pourquoi l’IoT fait exploser la surface d’attaque

Chaque objet connecté représente un point d’entrée potentiel pour une attaque. Or, dans les faits, beaucoup sont installés sans réelle supervision, sans plan de gestion, parfois même sans être référencés dans le système d’information.

Parmi les failles les plus courantes :

  • Des firmwares obsolètes, jamais mis à jour après l’installation,
  • Des identifiants par défaut laissés intacts (admin/admin, si si…),
  • Des protocoles non chiffrés qui laissent fuiter les données,
  • Des objets connectés exposés sur Internet sans aucune barrière de sécurité (oui, ça existe encore…)

Le vrai problème ? La multiplication de ces dispositifs échappe souvent au radar de la DSI. Ce n’est pas qu’une faille technique : c’est une faille de gouvernance.

Les menaces de sécurité les plus fréquentes

Cyberattaques les plus observées en 2024–2025

Les attaques sur les objets connectés ne sont plus une hypothèse : elles sont quotidiennes. Selon les derniers rapports européens, le nombre de cyberattaques exploitant des failles IoT a doublé entre 2022 et 2024. Et les modes opératoires se sont perfectionnés.

Voici quelques attaques particulièrement en vogue :

  • Prise de contrôle à distance : les attaquants exploitent une faille pour s’introduire dans l’objet et le piloter, parfois sans jamais être détectés.
  • Botnets IoT : comme le tristement célèbre Mirai, qui transforme des milliers d’objets connectés en armée zombie pour mener des attaques DDoS massives.
  • Exploitation de vulnérabilités non corrigées : certains équipements n’ont pas reçu de mises à jour depuis… 2018. Et ce n’est pas une hyperbole.
  • Écoute des flux non chiffrés : quand les communications ne sont pas protégées, les pirates peuvent intercepter les données sensibles.

Et le pire, c’est que la plupart des attaques réussies ne ciblent même pas les systèmes centraux, mais les périphéries : ce petit capteur ou cette caméra qui semblait inoffensive.

Risques spécifiques au monde professionnel

Dans les entreprises, le risque dépasse largement la simple panne technique. Une compromission d’objet connecté peut entraîner :

  • Une fuite de données confidentielles : par exemple, des images issues d’une caméra IP ou des données biométriques mal stockées.
  • Un arrêt de production : un capteur défectueux ou manipulé dans une usine peut déclencher des erreurs critiques en cascade.
  • Un espionnage industriel : certains objets peuvent être détournés pour surveiller les habitudes, les réunions ou les process internes.
  • Des sanctions réglementaires : un objet connecté collectant des données sans conformité RGPD peut exposer l’entreprise à de lourdes amendes.

Et ce n’est pas réservé aux grandes structures. Une PME de 50 salariés peut tout autant se faire piéger par une caméra connectée bon marché que mal configurée.

En somme, l’IoT, c’est comme une porte automatique : très pratique… mais encore faut-il penser à y mettre une serrure.

Quels objets sont (vraiment) à risque dans les entreprises ?

Matériel critique souvent négligé

Quand on parle de cybersécurité, on pense souvent serveurs, bases de données, pare-feux… Mais les objets connectés qui posent problème ne sont pas toujours ceux que l’on croit.

Voici une liste (non exhaustive) d’objets à haut risque, trop souvent oubliés :

  • Caméras IP : connectées au cloud mais rarement protégées. Beaucoup utilisent encore les identifiants d’usine.
  • Imprimantes réseau : souvent livrées avec une interface web accessible… sans mot de passe, et bourrée de failles.
  • Badgeuses et serrures connectées : si un attaquant accède à ce système, il peut littéralement ouvrir la porte.
  • Écrans d’affichage dynamique : peu surveillés, ils peuvent être piratés pour afficher du contenu ou collecter des données réseau.
  • Capteurs dans les entrepôts ou usines : un simple capteur de température peut servir de cheval de Troie vers le système industriel.

Le point commun de tous ces objets ? Ils sont déployés pour leur utilité fonctionnelle, mais très rarement considérés comme un “actif sensible”. Or, chaque connectivité est une faille potentielle si elle est laissée sans surveillance.

Objets personnels connectés en entreprise (BYOD 2.0)

Autre angle mort de la cybersécurité : les objets connectés personnels des salariés. Montres intelligentes, écouteurs Bluetooth, smartphones avec applications maison… Ils se connectent aux réseaux internes sans réel contrôle, surtout dans les petites structures où le Wi-Fi invité est inexistant.

Le problème n’est pas tant l’objet en lui-même, mais ce qu’il transporte :

  • Des applications peu sécurisées, voire malveillantes,
  • Des accès au cloud de l’entreprise (via des apps synchronisées),
  • Des connexions automatiques aux bornes internes, sans chiffrement.

On parle ici d’un BYOD étendu aux objets : une smartwatch peut capter des emails, accéder à la géolocalisation de l’employé, ou même transmettre des données à son insu. Et bien souvent, tout ça échappe totalement aux politiques de sécurité mises en place.

C’est pourquoi la gestion des objets connectés ne peut pas se limiter à l’équipement professionnel. Elle doit aussi anticiper l’usage hybride, volontaire ou non, que les collaborateurs font de leurs propres objets.

Sécuriser les objets connectés : les fondamentaux

Ce qu’il faut (vraiment) faire dès l’installation

Beaucoup d’incidents de cybersécurité liés à l’IoT pourraient être évités… dès les premières minutes après le déballage. Le souci, c’est que la configuration initiale est souvent laissée à un prestataire, un technicien ou… au hasard.

Voici les gestes essentiels à adopter dès l’installation d’un objet connecté en entreprise :

  • Changer les identifiants par défaut : cela semble basique, mais c’est encore la première faille exploitée. Évitez les classiques “admin/admin” ou “0000”.
  • Segmenter le réseau : ne connectez jamais un objet IoT sur le même réseau que les serveurs ou les fichiers sensibles. Créez un VLAN ou une zone DMZ dédiée.
  • Désactiver les services inutiles : FTP, Telnet, interfaces web accessibles à tous… Moins il y a de portes ouvertes, mieux c’est.
  • Activer les logs et les alertes : en cas de comportement anormal, il faut pouvoir tracer ce qui s’est passé.
  • Mettre à jour immédiatement le firmware : certains objets arrivent déjà avec des failles connues. La première chose à faire est donc… une mise à jour !

Petite astuce souvent oubliée : documenter l’objet. Où est-il ? Qui l’a installé ? Quelle version logicielle ? Quel usage métier ? Cela facilitera l’audit futur.

Le cycle de vie oublié : maintenir, mettre à jour, supprimer

Un objet connecté ne se sécurise pas une fois pour toutes. C’est un peu comme une voiture : elle peut rouler sans souci, mais il faut penser à l’entretien régulier. Et c’est justement là que beaucoup d’organisations pèchent.

Voici les trois piliers du cycle de vie sécurisé :

  • Mise à jour régulière : vérifiez que le constructeur propose encore des correctifs. Sinon… posez-vous la question de sa pérennité.
  • Maintenance centralisée : utiliser un outil de supervision (même simple) permet de garder un œil sur tout le parc IoT.
  • Suppression propre : un objet inutilisé doit être retiré du réseau, désactivé, réinitialisé, et documenté comme “hors service”.

Une entreprise a récemment vu son imprimante réseau – oubliée dans une salle de réunion vide – être utilisée comme point relais dans une attaque par rebond. Pourquoi ? Elle n’avait pas été désinstallée du système. Une erreur “invisible”, mais coûteuse.

Conclusion : intégrer les objets connectés dans une logique de gestion de cycle de vie est une nécessité. Sinon, c’est la porte ouverte à des incidents qui auraient pu être évités… littéralement d’un simple clic.

Vers une politique de cybersécurité IoT d’entreprise

Intégrer l’IoT dans une politique SI globale

Les objets connectés ne doivent pas vivre en marge de votre système d’information : ils doivent y être pleinement intégrés. Cela suppose une véritable stratégie, qui dépasse les simples mesures techniques.

Voici les piliers d’une politique SI incluant l’IoT :

  • Cartographie des objets connectés : dressez un inventaire précis de tous les équipements connectés (modèle, firmware, usage, localisation…)
  • Analyse de risques par usage : un capteur dans un entrepôt ne présente pas les mêmes enjeux qu’une caméra dans une salle de réunion confidentielle.
  • Audit régulier : programmez des revues de sécurité trimestrielles ou semestrielles pour détecter les failles ou les objets devenus obsolètes.
  • Documentation et procédure claire : qui gère l’objet ? Quelles sont les étapes d’ajout, de mise à jour, de suppression ? Cela doit être écrit, pas improvisé.

Et surtout, n’oublions pas l’élément humain. Car souvent, le plus grand risque, ce n’est pas l’objet… mais la façon dont il est utilisé.

Sensibilisation : embarquer les équipes non techniques

Maintenance, logistique, accueil, production… Tous ces services peuvent être concernés par les objets connectés, sans toujours en mesurer les enjeux de cybersécurité.

Voici quelques pistes pour renforcer la sécurité “sur le terrain” :

  • Former les équipes aux bons réflexes : signaler un objet suspect, ne pas réinitialiser un équipement sans autorisation, éviter les branchements sauvages…
  • Impliquer les métiers dans les choix d’objets connectés, pour éviter des achats déconnectés (sans mauvais jeu de mot) des exigences de sécurité.
  • Désigner un référent IoT au sein de chaque équipe concernée. Ce n’est pas toujours un RSSI, mais quelqu’un capable de remonter les signaux faibles.

Un système d’information sécurisé passe aussi par une culture partagée de la sécurité. Et cela commence… par des échanges entre humains, pas entre machines.

Sécurité dès la conception : pourquoi les achats doivent s’impliquer

On l’oublie souvent, mais le choix des objets connectés se fait bien en amont de leur installation. Et cela commence dès la phase d’achat.

Voici quelques critères à exiger dès la consultation :

  • La présence de mises à jour garanties pendant une durée minimale (3 à 5 ans idéalement),
  • Une documentation claire sur la politique de sécurité du fabricant,
  • Des fonctionnalités de gestion à distance sécurisée,
  • Un support des protocoles standards de chiffrement (TLS, WPA3…)

Vous pouvez aussi demander une fiche de conformité cybersécurité pour tout objet connecté acquis. Cela devient même une pratique de plus en plus courante dans les grandes entreprises.

En clair : la cybersécurité ne doit pas être un frein à l’innovation… mais une condition de sa réussite durable.

Ce qui change en 2025 : réglementation et tendances

Des règles européennes de plus en plus strictes

La législation n’est plus en retard sur les usages. En 2025, plusieurs textes européens viennent durcir les obligations de sécurité autour des objets connectés — et ce n’est qu’un début.

Le plus structurant : le Cyber Resilience Act (CRA), officiellement entré en vigueur début 2025. Son objectif ? Imposer des exigences de sécurité par défaut à tous les produits numériques — objets connectés inclus.

Concrètement, cela signifie :

  • Des obligations pour les fabricants : mises à jour, gestion des vulnérabilités, documentation sécurité, etc.
  • Des sanctions en cas de manquement, jusqu’à 15 millions d’euros ou 2,5 % du chiffre d’affaires annuel.
  • Un marquage CE « cybersécurisé » requis pour vendre un produit connecté dans l’UE.

Ce règlement, encore peu connu hors des cercles spécialisés, va progressivement imposer une remontée de la sécurité dans la chaîne de valeur. Et c’est une excellente nouvelle pour les entreprises qui veulent acheter plus sereinement.

Vers une IA embarquée sécurisée ?

Autre tendance lourde en 2025 : l’IA s’invite dans les objets connectés. Et avec elle, de nouveaux défis de cybersécurité. Car un capteur qui “décide” tout seul d’arrêter une chaîne de production, ce n’est pas tout à fait comme un simple thermomètre connecté…

On voit apparaître des objets hybrides mêlant capteurs, connectivité et intelligence embarquée :

  • Des caméras de sécurité capables de détecter des comportements suspects,
  • Des capteurs industriels avec détection d’anomalies autonome,
  • Des robots logistiques qui adaptent leur trajet en temps réel.

Problème : ces objets prennent des décisions. Et en cas de compromission, les conséquences peuvent être physiques, pas seulement numériques. Cela pose aussi la question de l’auditabilité des algorithmes, de la traçabilité des actions et… de la responsabilité juridique.

Les experts parlent déjà de “sécurité comportementale” de l’IoT. Autrement dit : il ne s’agit plus seulement de protéger les données, mais aussi de s’assurer que les objets agissent comme prévu — et rien d’autre.

En 2025, cette évolution marque un tournant : l’objet connecté n’est plus passif. Il devient autonome, intelligent… et potentiellement dangereux s’il est mal protégé.

Boîte à outils : solutions concrètes pour les pros

10 réflexes de cybersécurité IoT à adopter dès maintenant

Si vous deviez retenir une seule chose de cet article, ce serait ceci : la sécurité des objets connectés repose plus sur des bons réflexes que sur des gadgets technos. Voici une checklist que toute entreprise devrait appliquer :

  1. Changer les mots de passe d’usine immédiatement.
  2. Mettre à jour les firmwares dès leur disponibilité.
  3. Segmenter le réseau IoT du reste du SI.
  4. Désactiver les services ou ports non utilisés.
  5. Limiter l’exposition à Internet (aucun accès direct si possible).
  6. Tenir un inventaire précis et centralisé des objets connectés.
  7. Superviser l’activité réseau des objets (trafic anormal = alerte).
  8. Former les collaborateurs aux bons usages et aux signaux faibles.
  9. Désinstaller proprement les objets inutilisés ou obsolètes.
  10. Choisir des fabricants ayant une vraie politique de cybersécurité.

Pas besoin de tout faire d’un coup. Mais chaque pas compte, surtout si votre environnement regorge d’équipements invisibles mais vulnérables.

Solutions disponibles en France (et fiables)

Pas besoin de développer votre propre pare-feu pour objets connectés. En 2025, l’écosystème français et européen propose plusieurs outils de cybersécurité adaptés aux pros :

  • Firewalls IoT intelligents : comme ceux proposés par Stormshield ou Gatewatcher, capables d’analyser le trafic machine-to-machine.
  • Outils de supervision du parc IoT : pour cartographier, monitorer et alerter automatiquement (ex. : PRTG, IOTree, Watsense… selon les usages).
  • Solutions de segmentation réseau managée : y compris en SaaS, pour les PME sans équipe IT dédiée.
  • Référentiels de bonnes pratiques : notamment ceux de l’ANSSI, de l’ENISA ou de l’ETSI (norme EN 303 645).

Et bien sûr, rien n’empêche de faire appel à un prestataire spécialisé, notamment pour auditer votre parc ou poser les bases d’une stratégie de cybersécurité IoT.

L’important est d’éviter de bricoler. Un IoT sécurisé, c’est d’abord un IoT maîtrisé.

En conclusion : vigilance, collaboration et anticipation

La sécurité des objets connectés n’est plus un sujet “de demain”. C’est une réalité bien présente en 2025, qui touche autant les grandes structures que les PME, les collectivités que les start-ups.

La bonne nouvelle, c’est que des solutions existent. Et qu’elles sont souvent plus simples à mettre en œuvre qu’on ne l’imagine… à condition de ne pas les ignorer.

En résumé, sécuriser son parc IoT, c’est :

  • Identifier les objets à risque, y compris les plus “banals”.
  • Mettre en place des règles simples mais solides dès l’installation.
  • Penser à long terme : mises à jour, maintenance, audits, retrait.
  • Travailler main dans la main : RSSI, DSI, achats, production, RH… tout le monde est concerné.

À l’heure où l’IoT devient intelligent, autonome, voire prédictif, les risques évoluent aussi vite que les opportunités. Il ne s’agit donc pas d’être paranoïaque, mais lucide. Prévoir les vulnérabilités, c’est ce qui permet d’exploiter pleinement le potentiel de ces technologies – sans se faire piéger en route.

Car après tout, un objet connecté, c’est comme un collaborateur : utile, efficace… mais seulement s’il est bien encadré.

Image de Olivier Routhier
Olivier Routhier

Olivier est un rédacteur, éditeur et spécialiste du contenu web. Avant de rejoindre Effet Papillon, il a passé des années à perfectionner ses compétences au sein de plusieurs agences web en France, Belgique et Luxembourg..

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